Du côté du périné
Le périné est le muscle situé entre l’anus et le vagin, qui se déchire parfois au moment du passage de la tête du bébé. Ce muscle est indispensable pour éviter l’incontinence urinaire, pour maintenir les organes du bas-ventre et pour une sexualité harmonieuse. Pour éviter de fastidieuses coutures sur les différentes épaisseurs de peau, de tissu et de muscle qui se seront déchirées en zigzag, l’obstétricien ou la sage-femme pourra couper le périné au ciseau au moment de l’expulsion du nourrisson, permettant ainsi des sutures plus simples et une cicatrisation plus rapide. Cette intervention, qui peut se faire sans anesthésie, s’appelle l’épisiotomie. Si la naissance a nécessité la pose de forceps, ces grandes cuillères en métal posées de part et d’autre de la tête du bébé, le périné risque d’être bien malmené et légèrement distendu, pouvant occasionner par la suite des problèmes d’incontinence urinaire. En temps normal, de simples petites contractions périnéales effectuées régulièrement suffisent pour tonifier le périné. Il faudra faire des “ activations du périné ”, en y associant une respiration profonde, technique généralement enseignée lors des cours de préparation à l’accouchement. La technique consistant à stopper le jet de sa miction à plusieurs reprises pendant la même miction ne doit pas être pratiquée pendant la grossesse, sous peine de provoquer des infections urinaires. Un médecin ou une sage-femme vous prescrira des séances de rééducation périnéales chez une sage-femme ou un kiné, a effectuer deux mois après l’accouchement et remboursées par la sécurité sociale. Surtout suivez-les. Même si ces séances vous paraissent un peu contraignantes, elles vous seront extrêmement bénéfiques.
Les hémorroïdes, ça se soigne
Pour les soulager, il ne faudra pas hésiter à en parler à votre médecin qui vous prescrira pommades, cachets et médicaments adaptés. Inutile de rester à souffrir en silence ! Après un accouchement, il ne faudra pas tarder à retourner à la selle. Pour faciliter le transit, si vous craignez d’être encore constipée, buvez de l’eau de marque Hépar (riche en magnésium aux propriétés laxatives), consommez des fibres (légumes verts, pain au son, pruneaux...) et massez votre ventre avec une crème hydratante, pour relancer doucement l’activité de vos intestins. Toutefois, si vous allaitez, ne consommez pas trop de fibres car elles provoqueraient une diarrhée chez votre bébé.
Faites subir à vos cheveux un traitement de choc
Après l’accouchement, les grands bouleversements hormonaux font que l’on assiste souvent à une perte de vitalité voire à une chute abondante de cheveux. Certes, il repousseront et finiront par retrouver de la vigueur, mais on peut aussi stimuler le processus en entamant une cure de vitamine B et de cystine, qui pourra vous être prescrite. Si ce n’est pas le moment de leur faire subir une coloration, on peut aussi s’offrir un changement de coupe, histoire de donner un coup de pouce aussi bien à sa chevelure qu’à son moral.
Maintenant, on peut remodeler sa silhouette
Certes, au moment de l’accouchement on perd 6 ou 7 kg en moyenne... mais on en garde aussi quelques-un. Génétiquement, les kilos que prennent les femmes au niveau abdominal ont pour but de fournir l’énergie de porter un éventuel bébé. Mais à quoi servent ceux que la femme garde après l’accouchement ? Ils servent de réserve calorique pour fournir l’énergie nécessaire à l’allaitement.
Le périné est le muscle situé entre l’anus et le vagin, qui se déchire parfois au moment du passage de la tête du bébé. Ce muscle est indispensable pour éviter l’incontinence urinaire, pour maintenir les organes du bas-ventre et pour une sexualité harmonieuse. Pour éviter de fastidieuses coutures sur les différentes épaisseurs de peau, de tissu et de muscle qui se seront déchirées en zigzag, l’obstétricien ou la sage-femme pourra couper le périné au ciseau au moment de l’expulsion du nourrisson, permettant ainsi des sutures plus simples et une cicatrisation plus rapide. Cette intervention, qui peut se faire sans anesthésie, s’appelle l’épisiotomie. Si la naissance a nécessité la pose de forceps, ces grandes cuillères en métal posées de part et d’autre de la tête du bébé, le périné risque d’être bien malmené et légèrement distendu, pouvant occasionner par la suite des problèmes d’incontinence urinaire. En temps normal, de simples petites contractions périnéales effectuées régulièrement suffisent pour tonifier le périné. Il faudra faire des “ activations du périné ”, en y associant une respiration profonde, technique généralement enseignée lors des cours de préparation à l’accouchement. La technique consistant à stopper le jet de sa miction à plusieurs reprises pendant la même miction ne doit pas être pratiquée pendant la grossesse, sous peine de provoquer des infections urinaires. Un médecin ou une sage-femme vous prescrira des séances de rééducation périnéales chez une sage-femme ou un kiné, a effectuer deux mois après l’accouchement et remboursées par la sécurité sociale. Surtout suivez-les. Même si ces séances vous paraissent un peu contraignantes, elles vous seront extrêmement bénéfiques.
Les hémorroïdes, ça se soigne
Pour les soulager, il ne faudra pas hésiter à en parler à votre médecin qui vous prescrira pommades, cachets et médicaments adaptés. Inutile de rester à souffrir en silence ! Après un accouchement, il ne faudra pas tarder à retourner à la selle. Pour faciliter le transit, si vous craignez d’être encore constipée, buvez de l’eau de marque Hépar (riche en magnésium aux propriétés laxatives), consommez des fibres (légumes verts, pain au son, pruneaux...) et massez votre ventre avec une crème hydratante, pour relancer doucement l’activité de vos intestins. Toutefois, si vous allaitez, ne consommez pas trop de fibres car elles provoqueraient une diarrhée chez votre bébé.
Faites subir à vos cheveux un traitement de choc
Après l’accouchement, les grands bouleversements hormonaux font que l’on assiste souvent à une perte de vitalité voire à une chute abondante de cheveux. Certes, il repousseront et finiront par retrouver de la vigueur, mais on peut aussi stimuler le processus en entamant une cure de vitamine B et de cystine, qui pourra vous être prescrite. Si ce n’est pas le moment de leur faire subir une coloration, on peut aussi s’offrir un changement de coupe, histoire de donner un coup de pouce aussi bien à sa chevelure qu’à son moral.
Maintenant, on peut remodeler sa silhouette
Certes, au moment de l’accouchement on perd 6 ou 7 kg en moyenne... mais on en garde aussi quelques-un. Génétiquement, les kilos que prennent les femmes au niveau abdominal ont pour but de fournir l’énergie de porter un éventuel bébé. Mais à quoi servent ceux que la femme garde après l’accouchement ? Ils servent de réserve calorique pour fournir l’énergie nécessaire à l’allaitement.
