Delphine, 25 ans, hôtesse d’accueil : Quand j’étais plus jeune, je trouvais mon nez absolument hideux, trop long avec une bosse, et je rêvais de me faire opérer. C’est génétique, toute ma famille a le même profil que moi. Je me suis acceptée du jour où j’ai commencé à travailler comme hôtesse. Les filles étaient sélectionnées sur leur apparence physique et seules les plus jolies étaient retenues. Ma candidature a été acceptée immédiatement et j’en suis arrivée à oublier que j’avais un nez ! Aujourd’hui je n’y pense plus du tout.
Sabine, 32 ans, secrétaire comptable : Enfant, j’ai énormément souffert d’avoir à porter des bagues pour resserrer mes dents. Les gamins m’avaient surnommée " la naine aux dents d’acier " et bien que d’un tempérament très gai, je n’osais plus jamais sourire. Quand on m’a retiré mes bagues, le résultat n’a pas été parfait, mais la maturité m’a permis de passer outre, et aujourd’hui je souris sans retenue. Je n’ai plus jamais eu besoin de complexer au sujet de mes dents, et pour cause : mon mari me répète régulièrement que j’ai une très jolie bouche.
Anouchka, 30 ans, photographe : J’ai toujours eu un bon petit bidon. Même plus jeune et très mince, je n’ai jamais réussi à avoir un ventre totalement plat. Jusqu’au jour où j’ai pris mon premier cours de danse du ventre. Ce fut l’illumination. C’était une danse axée sur des mouvements lascifs du bassin. Les filles les plus sensuelles étaient celles qui avaient un ventre franchement rebondi, les rares maigrichonnes du cours n’avaient rien à faire onduler !
Laura, 16 ans, étudiante : Je n’aime pas mes petits seins. Je fais un 80 bonnets A et dès qu’il s’agit de mettre un top habillé ou une robe bustier, c’est la catastrophe. J’utilise des kilos de coton pour rembourrer mon soutien-gorge et je rêve de trouver un jour un régime qui me fasse grossir les seins ! Comparée à mes copines à gros lolos, je me suis toujours sentie toute menue. Heureusement, depuis que je me suis mise à sortir avec des garçons, ça va beaucoup mieux. J’ai réalisé qu’ils m’aimaient pour autre chose que ma poitrine, car jamais aucun ne m’a fait la moindre réflexion à ce sujet.
Emma, 24 ans, attachée de presse : Je n’ai jamais aimé mes fesses et ma petite culotte de cheval. Malgré une taille 38, avant je ne mettais jamais de robes moulantes. Jusqu’à ma rencontre avec mon conjoint, qui fantasme sur les fesses bien potelées. Grâce à lui, j’ai pris conscience du capital séduction de mon derrière !
Elodie, 19 ans, étudiante : Quand j’étais toute petite, on me surnommait Dumbo à cause de mes grandes oreilles. Les gens trouvaient ça drôle, mais ça ne faisait rire qu’eux et moi ça me complexait de plus en plus. En grandissant, mes oreilles sont devenues un peu moins voyantes et plus en harmonie avec le reste de mon visage. De toutes façons, peu importe : je me fais des chignons serrés, et ce petit signe particulier que sont mes oreilles bien visibles donne un côté original à ma physionomie. En plus, les cheveux attachés dégagent ma nuque, à la grande joie de mon petit ami qui est fou de mon cou !
Sabine, 32 ans, secrétaire comptable : Enfant, j’ai énormément souffert d’avoir à porter des bagues pour resserrer mes dents. Les gamins m’avaient surnommée " la naine aux dents d’acier " et bien que d’un tempérament très gai, je n’osais plus jamais sourire. Quand on m’a retiré mes bagues, le résultat n’a pas été parfait, mais la maturité m’a permis de passer outre, et aujourd’hui je souris sans retenue. Je n’ai plus jamais eu besoin de complexer au sujet de mes dents, et pour cause : mon mari me répète régulièrement que j’ai une très jolie bouche.
Anouchka, 30 ans, photographe : J’ai toujours eu un bon petit bidon. Même plus jeune et très mince, je n’ai jamais réussi à avoir un ventre totalement plat. Jusqu’au jour où j’ai pris mon premier cours de danse du ventre. Ce fut l’illumination. C’était une danse axée sur des mouvements lascifs du bassin. Les filles les plus sensuelles étaient celles qui avaient un ventre franchement rebondi, les rares maigrichonnes du cours n’avaient rien à faire onduler !
Laura, 16 ans, étudiante : Je n’aime pas mes petits seins. Je fais un 80 bonnets A et dès qu’il s’agit de mettre un top habillé ou une robe bustier, c’est la catastrophe. J’utilise des kilos de coton pour rembourrer mon soutien-gorge et je rêve de trouver un jour un régime qui me fasse grossir les seins ! Comparée à mes copines à gros lolos, je me suis toujours sentie toute menue. Heureusement, depuis que je me suis mise à sortir avec des garçons, ça va beaucoup mieux. J’ai réalisé qu’ils m’aimaient pour autre chose que ma poitrine, car jamais aucun ne m’a fait la moindre réflexion à ce sujet.
Emma, 24 ans, attachée de presse : Je n’ai jamais aimé mes fesses et ma petite culotte de cheval. Malgré une taille 38, avant je ne mettais jamais de robes moulantes. Jusqu’à ma rencontre avec mon conjoint, qui fantasme sur les fesses bien potelées. Grâce à lui, j’ai pris conscience du capital séduction de mon derrière !
Elodie, 19 ans, étudiante : Quand j’étais toute petite, on me surnommait Dumbo à cause de mes grandes oreilles. Les gens trouvaient ça drôle, mais ça ne faisait rire qu’eux et moi ça me complexait de plus en plus. En grandissant, mes oreilles sont devenues un peu moins voyantes et plus en harmonie avec le reste de mon visage. De toutes façons, peu importe : je me fais des chignons serrés, et ce petit signe particulier que sont mes oreilles bien visibles donne un côté original à ma physionomie. En plus, les cheveux attachés dégagent ma nuque, à la grande joie de mon petit ami qui est fou de mon cou !