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Arrêter de fumer sans grossir ET sans stresser

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- Concernant le sport
Le sport est un bon substitut qui aide à oublier la cigarette et à entretenir son corps. Une activité sportive est essentielle pour garder un poids stable, dépenser les calories auparavant grillées par la nicotine, réduire le stress et l’anxiété liés au manque. Misez sur des sports plutôt doux (natation, vélo, aquagym…) et n’oubliez pas l’exercice physique : montez des escaliers, sortez faire une balade rapide dès que l’appel du tabac se fait sentir…
Le sport permet de s'occuper l'esprit car il demande un minimum de concentration pour réguler son souffle. Il oxygène le cerveau et fait oublier la faim.
Dès que la faim se fait sentir et si le temps vous le permet, mettez vite votre tenu et allez faire un peu de sport. Bien entendu, si vous avez vraiment faim et pour éviter le malaise, n'hésitez pas à manger une barre de céréales avant vos exercices.
Faites du sport le plus régulièrement possible, d'une demi-heure à 1 heure, une à trois fois par semaine.
Si vous êtes débordée par le travail, forcez-vous à en faire après votre travail et les week-ends.
Vous verrez que vous vous sentirez mieux dans votre peau.
Et puis, il vaut mieux être accro au sport qu'à la cigarette, non ?
 

Quelques idées pour arrêter de fumer sans stresser
 
1/ Essayez les substituts nicotiniques
Comme ils apportent de la nicotine, les substituts nicotiniques aident à diminuer la sensation de manque. Cela permet ainsi de ne pas grignoter pour compenser les envies de fumer. En outre, ils agissent sur le métabolisme et freinent la prise de poids.
 
2/ Optez pour l’homéopathie
Naturelle, douce et sans effets secondaires, l’homéopathie peut aider à arrêter de fumer en douceur et à combattre la dépendance au tabac. En principe, le traitement peut être entamé une semaine avant l’arrêt de la cigarette. Personnalisé en fonction de chacun et de ses manques ressentis, il est encadré par un praticien qui donne des conseils multiples. « À l’arrêt du tabac, il est essentiel de pratiquer une activité physique, ne serait-ce que marcher pour éliminer et d’avoir une alimentation équilibrée, riche en antioxydants, précise Albert-Claude Quenoum, président de l’Institut homéopathique scientifique, pharmacien et chercheur. Certaines personnes vont tousser, d’autres avoir des fringales et manger plus que de coutume. Voilà pourquoi le traitement est adapté en fonction des besoins de chacun ».
Les résultats que l’on peut espérer ? Ils sont plus ou moins rapides selon les personnes. « Les premiers signes de la désaccoutumance peuvent se manifester environ deux jours après le début du traitement, explique notre spécialiste. 65% des personnes sous traitement homéopathique ne rechutent pas et il y a 35 % d’échecs relatifs. En revanche, les patients volontaires et très motivés ont 99 % de chances de réussite. C’est le cas notamment des femmes enceintes ».