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7 bonnes raisons de faire l'amour !

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Raison N°1 : Faire l’amour, c’est bon pour la santé
 
Faire l’amour, ce n’est pas qu’une affaire de désir, et de libido c’est aussi bon pour la santé. 
Le sexe, c’est bon pour notre cœur à tous les sens du terme. Oubliée, l’idée que l’activité sexuelle serait dangereuse pour le cœur. Cela le renforce au contraire. Selon des chercheurs américains, faire l’amour au moins deux fois par semaine éloigne les hommes des risques d’infarctus. D’après plusieurs études, avoir une vie sexuelle active pourrait entraîner une diminution du risque de souffrir du cancer ou de la cardiopathie, ou de celui de faire un ACV.  La raison ? Les relations sexuelles diminuent le stress, ce qui réduit donc les risques d’infarctus puisque le stress est l’un des facteurs de risque. Faire l’amour aurait les mêmes effets bénéfiques sur le cœur et les maladies cardiaques que la pratique de toute activité sportive. Chez les femmes, c’est l’abstinence, mais aussi l’insatisfaction qui augmenterait les risques d’infarctus du myocarde. Celles qui ont des rapports réguliers auraient de plus hauts niveaux d'estrogènes, ce qui les protègent contre les maladies de cœur. Cette augmentation d'estrogènes aide aussi à nous protéger des maladies du cœur, de l'ostéoporose, et potentiellement, de la maladie d'Alzheimer. 
 
 
Raison N°2 : Le sexe éloigne les maladies ! 
 
Autre avantage – qui concerne également les femmes — les rapports sexuels, à raison d’une ou deux fois par semaine, entraînent une élévation de 30 pour cent de la production d’immunoglobine A or IgA. Ces anticorps stimulent le système immunitaire et aident notre corps à se protéger contre les infections et les maladies. On en trouve normalement de hauts niveaux dans les membranes muqueuses des voies respiratoires et digestives. Du coup, c’est aussi un excellent remède contre le rhume et la grippe. Encore une raison pour ne pas prendre le sexe en grippe ! Enfin, d'autres recherches suggèrent également que de fréquentes éjaculations (au moins cinq fois par semaine pendant une vingtaine d’années) chez l'homme réduisent le risque de développer, plus tard, un cancer de la prostate. En effet, le massage prostatique effectué lors du rapport et l’émission de sperme contribueraient à éliminer les cellules carcinogènes. Et ils réduiraient aussi les microcalcifications qui s’accumulent dans la prostate. Même effet bénéfique observé chez les femmes. On constate que celles dont la poitrine est régulièrement caressée pendant les échanges sexuels sont mieux protégées. Explication : l’ocytocine, « l’hormone de l’attachement », libérée par la stimulation des mamelons lors des échanges sexuels aiderait à éliminer les éléments carcinogènes des glandes mammaires. Ce résultat reste encore à confirmer.