Quelques témoignages
Kathia, 41 ans, mère au foyer : On m’a posé des prothèses il y a 3 ans. Une opération réalisée par un grand professeur qui a donné à mon buste un effet très artificiel : il avait trop rapproché les prothèses ce qui avait effacé le joli sillon du milieu. Je n’étais pas spécialement complexée par ma poitrine, un joli 90 B, mais après trois enfants elle était devenue flasque et tombante donc je voulais la faire regalber. J’avais la nostalgie de ma poitrine de jeune fille, si parfaite qu’on la croyait déjà retouchée par un chirurgien ! Suite, donc, à ce que je considérais comme un ratage, je suis allée voir un autre médecin qui m’a réopérée en rectifiant la place des prothèses. Maintenant que mes seins ont une jolie allure, je me sens bien mieux dans ma peau.
Mauricette, 61 ans, vendeuse : Je me suis faite poser des prothèses il y a quelques mois. Je ne manquais pas de poitrine, mais elle tombait après 6 maternités dont 3 allaitements. Une fois mes enfants autonomes, j’ai eu envie de penser un peu à moi et j’ai décidé de me faire faire un lifting. Dans la foulée, j’ai également fait refaire ma poitrine, mon ventre et mes cuisses. Je n’étais pas grosse (j’ai toujours fait une taille 38), mais tous mes tissus étaient relâchés. J’ai retrouvé depuis une nouvelle jeunesse, et je regrette juste de ne pas avoir fait ces opérations plus tôt !
Emmanuelle, 34 ans, représentante en lingerie : J’ai subi une augmentation des seins, en passant d’un 85 B au 90 C que je fais actuellement. Avec une taille d’1m69 et de larges épaules, ma poitrine paraissait toute menue et ça ne me plaisait pas du tout. J’avais très envie de tenter cette opération depuis mes 20 ans, mais je ne l’ai pas faite car les médecins que j’avais rencontrés à cette époque m’en avaient franchement dissuadée. L’un d’entre eux m’avait présenté une des patientes qu’il venait d’opérer, et j’ai pris peur en découvrant les énormes disques de silicone très apparents sur son torse. Un autre médecin m’a carrément proposé de renoncer à mon opération des seins... pour m’opérer du nez à la place ! J’ai donc fini par laisser tomber mon projet. En même temps, ma mère possédait des boutiques de lingerie qui croulaient sous les bustiers, guêpières et autre lingerie fine que je n’osais même pas imaginer porter avec ma petite poitrine. Pourtant j’avais terriblement envie d’en profiter, mais pour ce faire je devais mettre des soutien-gorges rembourrés ou pire : y incorporer des coussinets. Et puis j’ai rencontré mon mari, et ma poitrine menue n’a plus été le centre de mes préoccupations. Sans compter que je peux bien le reconnaître, à 20 ans ma poitrine était quand même ferme et très jolie. Puis j’ai eu deux enfants. Niveau seins, ça a été une vraie catastrophe ! Ils se sont vidés et creusés... Chaque été, c’était la torture en maillot de bain et je prenais la ferme décision de me faire opérer. Mais dès que l’hiver approchait, je me calmais et je renonçais... jusqu’à l’été suivant ! Le déclic qui m’a fait franchir le pas a été un grand mariage où j’ai été invitée. J’étais découragée rien qu’en imaginant le calvaire que ça allait encore être de me trouver une jolie robe décolletée dans laquelle je n’aurai pas honte. Cet argument un peu léger a été la goutte d’eau qui a fait déborder le vase de toutes ces années d’hésitation. A la boutique de lingerie où je travaille, beaucoup de mes clientes avaient la poitrine refaite, alors, au vu de leur résultat et pour être sûre de ne pas me tromper, je leur ai piqué l’adresse de leur chirurgien. J’ai ensuite fixé une date pour l’opération. Après l’intervention, quand le médecin m’a enlevé le pansement, je n’ai pas osé regarder le résultat. Quatre personnes faisant partie du personnel médical étaient dans ma chambre à ce moment, et j’ai guetté leurs réactions : leurs visages, en voyant mes nouveaux seins, se sont illuminés et j’ai même entendu un " Ooh, comme c’est beau ! ", qui m’a grandement rassurée. Quand j’ai enfilé le soutien-gorge de contention, la différence d’avec ma poitrine d’avant m’a sauté aux yeux ! J’avais une poitrine haute et surtout sans disques apparents. De plus, la cicatrice un mois et demi après est quasiment invisible, et mes seins ne sont plus du tout douloureux. Je viens de m’offrir une robe du soir fourreau qui me va à la perfection, j’use et j’abuse des bustiers et autres décolletés pigeonnants, et j’ai refait une provision de nouvelle lingerie ! J’ai carrément retrouvé le goût de vivre ma féminité maintenant que je me sens plus belle. Mon mari, qui était contre l’opération au début, a appris à apprécier mes nouvelles rondeurs. Des gens pensent même que j’ai maigri, car ma poitrine plantureuse donne en fait l’illusion que ma taille s’est affinée !