1 – Ton corps tu respecteras.
Tous les événements qui nous concernent de près ou de loin et toutes les actions que nous entreprenons ont une influence plus ou moins directe sur notre corps. C’est pourquoi il est si important de savoir se gouverner. En toute chose, il faut fuir les extrêmes et trouver le juste milieu :
- Pas question d’abîmer sa santé en jeûnant à outrance et en tombant d’inanition sous prétexte de vouloir mincir : fuyons les carences en tous genres qui donnent mauvais moral et rendent le teint terne et le cheveux triste. Apprenons donc à manger à notre faim mais ni plus, ni moins.
- Pas question, à l’inverse, de se laisser complètement aller sous prétexte qu’on n’y arrivera jamais : c’est le moyen infaillible pour ne jamais y arriver et pour empirer une situation qui pourtant peut toujours s’améliorer avec un peu d’espoir et de volonté. Apprenons à mettre un frein à la quantité d’aliments que nous absorbons et à ne pas dépasser le temps dévolu aux différents repas.
- Pas question de faire travailler ses abdominaux, ou autres, n’importe comment et de façon anarchique : évitons le tour de rein et la tendinite à répétition. Si pour une raison ou une autre on ne peut suivre un cours avec un professeur sérieux, effectuons alors très régulièrement nos mouvements de gymnastique, cela avec la plus grande vigilance afin de ne pas creuser nos reins, de garder les articulations dans le bon axe, etc.
- Pas question non plus de se boudiner dans des corsets étroits qui empêchent de respirer et entravent la circulation sanguine. Pensons plutôt à nous tenir bien droits et à rentrer notre ventre en permanence mais toujours raisonnablement. Traitons notre corps comme une personne respectable à qui l’on doit quelques égards : il nous les rendra au centuple. Et d’abord, sans être pressés mais avec beaucoup de régularité et de persévérance modifions notre hygiène de vie.
2 - De façon variée et modérée tu mangeras.
En effet, il ne s’agit pas de s’affamer mais bien d’écouter son corps et de manger à sa faim (mais pas plus) car pour s’épanouir, l’organisme a besoin de la plus grande diversité possible : il doit pouvoir puiser toutes les vitamines et tous les sels minéraux indispen-sables à sa santé. Tous les aliments sont donc nécessaires, encore faut-il apprendre à les choisir, les cuisiner et les consommer avec mesure, sans jamais outrepasser les quantités raisonnables. Surtout en ce qui concerne les graisses et les sucreries que le corps se fait un plaisir de stocker à tort et à travers et que l’on doit consommer avec la plus grande parcimonie. Voici trois petites astuces pour « user sans abuser » : - Prendre le temps de considérer le contenu de son assiette avant de commencer à manger afin d’en évaluer la qualité et la quantité en toute connaissance de cause et de « rectifier le tir » si besoin est. - Ne jamais se resservir d’un plat - Ne pas atteindre complètement la satiété : se lever de table avec un tout petit creux qui disparaîtra au bout de cinq minutes et nous permettra de retrouver légèreté et dynamisme.
3 – Le grignotage tu banniras.
Et pour cela, rien de tel qu’honorer les trois repas quotidiens. En effet, il ne faut jamais sauter un repas sous peine de devoir faire face à une fringale soudaine à laquelle il serait très difficile de résister. Si toutefois celle-ci survenait, rien de plus naturel que de la calmer à l’aide d’une légère collation : peut-être un laitage sous forme de fromage blanc ou de yaourt, un fruit, voire une ou deux carottes épluchées. A proscrire absolument : les sucres rapides (sucre blanc, confiserie, pâtisserie, etc.) et les graisses (le lait entier, les fromages à plus de 40 %, la charcu- terie, etc.).
Pour éviter le grignotage :
- Se demander en toute bonne foi si l’on a vraiment faim, si notre envie ne résulte pas plutôt d’un petit désir de confort ou de réconfort.
- Avoir toujours une occupation en train, car le désoeuvrement ou l’ennui peuvent nous pousser à manger « pour passer le temps ».
- Ne jamais faire deux choses à la fois, par exemple manger en travaillant, en lisant, en regardant la télévision etc. car il est important de garder le contrôle sur tous nos aliments.
- Bref, apprendre à se dominer en toute circonstance. Si, malgré tout, la tentation a été la plus forte et que l’on y a cédé, se dire que rien n’est perdu. Et au lieu de se laisser complètement aller, se reprendre instantanément et recommencer inlassablement à gérer son comportement alimentaire.
Tous les événements qui nous concernent de près ou de loin et toutes les actions que nous entreprenons ont une influence plus ou moins directe sur notre corps. C’est pourquoi il est si important de savoir se gouverner. En toute chose, il faut fuir les extrêmes et trouver le juste milieu :
- Pas question d’abîmer sa santé en jeûnant à outrance et en tombant d’inanition sous prétexte de vouloir mincir : fuyons les carences en tous genres qui donnent mauvais moral et rendent le teint terne et le cheveux triste. Apprenons donc à manger à notre faim mais ni plus, ni moins.
- Pas question, à l’inverse, de se laisser complètement aller sous prétexte qu’on n’y arrivera jamais : c’est le moyen infaillible pour ne jamais y arriver et pour empirer une situation qui pourtant peut toujours s’améliorer avec un peu d’espoir et de volonté. Apprenons à mettre un frein à la quantité d’aliments que nous absorbons et à ne pas dépasser le temps dévolu aux différents repas.
- Pas question de faire travailler ses abdominaux, ou autres, n’importe comment et de façon anarchique : évitons le tour de rein et la tendinite à répétition. Si pour une raison ou une autre on ne peut suivre un cours avec un professeur sérieux, effectuons alors très régulièrement nos mouvements de gymnastique, cela avec la plus grande vigilance afin de ne pas creuser nos reins, de garder les articulations dans le bon axe, etc.
- Pas question non plus de se boudiner dans des corsets étroits qui empêchent de respirer et entravent la circulation sanguine. Pensons plutôt à nous tenir bien droits et à rentrer notre ventre en permanence mais toujours raisonnablement. Traitons notre corps comme une personne respectable à qui l’on doit quelques égards : il nous les rendra au centuple. Et d’abord, sans être pressés mais avec beaucoup de régularité et de persévérance modifions notre hygiène de vie.
2 - De façon variée et modérée tu mangeras.
En effet, il ne s’agit pas de s’affamer mais bien d’écouter son corps et de manger à sa faim (mais pas plus) car pour s’épanouir, l’organisme a besoin de la plus grande diversité possible : il doit pouvoir puiser toutes les vitamines et tous les sels minéraux indispen-sables à sa santé. Tous les aliments sont donc nécessaires, encore faut-il apprendre à les choisir, les cuisiner et les consommer avec mesure, sans jamais outrepasser les quantités raisonnables. Surtout en ce qui concerne les graisses et les sucreries que le corps se fait un plaisir de stocker à tort et à travers et que l’on doit consommer avec la plus grande parcimonie. Voici trois petites astuces pour « user sans abuser » : - Prendre le temps de considérer le contenu de son assiette avant de commencer à manger afin d’en évaluer la qualité et la quantité en toute connaissance de cause et de « rectifier le tir » si besoin est. - Ne jamais se resservir d’un plat - Ne pas atteindre complètement la satiété : se lever de table avec un tout petit creux qui disparaîtra au bout de cinq minutes et nous permettra de retrouver légèreté et dynamisme.
3 – Le grignotage tu banniras.
Et pour cela, rien de tel qu’honorer les trois repas quotidiens. En effet, il ne faut jamais sauter un repas sous peine de devoir faire face à une fringale soudaine à laquelle il serait très difficile de résister. Si toutefois celle-ci survenait, rien de plus naturel que de la calmer à l’aide d’une légère collation : peut-être un laitage sous forme de fromage blanc ou de yaourt, un fruit, voire une ou deux carottes épluchées. A proscrire absolument : les sucres rapides (sucre blanc, confiserie, pâtisserie, etc.) et les graisses (le lait entier, les fromages à plus de 40 %, la charcu- terie, etc.).
Pour éviter le grignotage :
- Se demander en toute bonne foi si l’on a vraiment faim, si notre envie ne résulte pas plutôt d’un petit désir de confort ou de réconfort.
- Avoir toujours une occupation en train, car le désoeuvrement ou l’ennui peuvent nous pousser à manger « pour passer le temps ».
- Ne jamais faire deux choses à la fois, par exemple manger en travaillant, en lisant, en regardant la télévision etc. car il est important de garder le contrôle sur tous nos aliments.
- Bref, apprendre à se dominer en toute circonstance. Si, malgré tout, la tentation a été la plus forte et que l’on y a cédé, se dire que rien n’est perdu. Et au lieu de se laisser complètement aller, se reprendre instantanément et recommencer inlassablement à gérer son comportement alimentaire.