A quoi servent les compléments alimentaires ?
Vendus librement sans prescription médicale dans les pharmacies, supermarchés et magasins diététiques, les compléments alimentaires sont de composition différente (vitamines, fibres, minéraux, plantes, acides gras) selon les besoins. A titre préventif ou pour pallier aux éventuelles déficiences, ils peuvent compléter les repas quotidiens. Certains, contenant des isoflavones de soja, peuvent remplacer le Traitement Hormonal Substitutif (THS) lorsque les femmes ne le supportent pas ou ne veulent pas le suivre. Ils sont alors efficaces pour lutter contre les bouffées de chaleur, l’irritabilité et les troubles du sommeil. En revanche, une femme souffrant d’ostéoporose devra suivre le THS, avec ou sans compléments alimentaires. Il est d’ailleurs toujours préférable de demander conseil à son gynécologue, mieux habilité pour orienter sa patiente vers le traitement le plus personnalisé et le plus adapté.
Les compléments sont également utiles aux personnes suivant un régime hypocalorique ou n’arrivant pas à couvrir leurs besoins nutritionnels. Leur diversité ne s’arrête pas à ces quelques exemples.
A l’heure actuelle, il est facile de trouver des compléments à visée cosmétique : pour les cheveux et les ongles, pour une meilleure fermeté de la peau, pour lutter contre le vieillissement cutané ou préparer sa peau au soleil. Problèmes de stress, de poids ou de fatigue passagère, les compléments s’adaptent aux besoins de chacun.
Les femmes enceintes, dont les besoins en folates sont accrus pendant la grossesse, pourront se supplémenter en vitamine B9 par le biais de compléments. Le calcium sera consommé par les personnes âgées, souvent confrontées à des carences du fait d’une alimentation déstructurée.
Les personnes fatiguées pourront choisir des compléments à base de vitamine C. En cas de régime alimentaire, certains compléments éviteront certaines carences dues à la suppression de certains aliments. Mais il ne doit pas remplacer une hygiène de vie combinant alimentation équilibrée et pratique d’une activité physique. A lui tout seul, un complément ne permet pas de perdre du poids. Il doit donc être consommé à titre de prévention.
Que doit-on en penser ?
Appartenant au domaine du bien-être, les compléments alimentaires ne peuvent pas se substituer à un traitement de fond. Ils sont bénéfiques dès lors qu’ils sont utilisés à bon escient, et sans en abuser. Car consommés en trop grande quantité, certains de ces composants peuvent avoir des effets néfastes sur la santé. A forte dose, la créatine, par exemple, peut entraîner des risques de cancer, et la vitamine A devient dangereuse, pouvant causer des malformations du fœtus chez la femme enceinte. Pour ajuster le traitement, il est toujours préférable de demander conseils à son médecin et à son pharmacien qui sauront vous orienter vers le traitement adapté et vous prescrire les bonnes doses. Aujourd’hui, même s’il n’est pas possible de démontrer leur efficacité thérapeutique (puisque seuls les médicaments font l’objet d’études thérapeutiques), les compléments sont soumis à des études physiologiques et nutritionnelles certaines. A chacun d’entre nous de rester vigilant quant à leur utilisation et surtout de ne pas négliger le rôle d’une alimentation équilibrée.
Vendus librement sans prescription médicale dans les pharmacies, supermarchés et magasins diététiques, les compléments alimentaires sont de composition différente (vitamines, fibres, minéraux, plantes, acides gras) selon les besoins. A titre préventif ou pour pallier aux éventuelles déficiences, ils peuvent compléter les repas quotidiens. Certains, contenant des isoflavones de soja, peuvent remplacer le Traitement Hormonal Substitutif (THS) lorsque les femmes ne le supportent pas ou ne veulent pas le suivre. Ils sont alors efficaces pour lutter contre les bouffées de chaleur, l’irritabilité et les troubles du sommeil. En revanche, une femme souffrant d’ostéoporose devra suivre le THS, avec ou sans compléments alimentaires. Il est d’ailleurs toujours préférable de demander conseil à son gynécologue, mieux habilité pour orienter sa patiente vers le traitement le plus personnalisé et le plus adapté.
Les compléments sont également utiles aux personnes suivant un régime hypocalorique ou n’arrivant pas à couvrir leurs besoins nutritionnels. Leur diversité ne s’arrête pas à ces quelques exemples.
A l’heure actuelle, il est facile de trouver des compléments à visée cosmétique : pour les cheveux et les ongles, pour une meilleure fermeté de la peau, pour lutter contre le vieillissement cutané ou préparer sa peau au soleil. Problèmes de stress, de poids ou de fatigue passagère, les compléments s’adaptent aux besoins de chacun.
Les femmes enceintes, dont les besoins en folates sont accrus pendant la grossesse, pourront se supplémenter en vitamine B9 par le biais de compléments. Le calcium sera consommé par les personnes âgées, souvent confrontées à des carences du fait d’une alimentation déstructurée.
Les personnes fatiguées pourront choisir des compléments à base de vitamine C. En cas de régime alimentaire, certains compléments éviteront certaines carences dues à la suppression de certains aliments. Mais il ne doit pas remplacer une hygiène de vie combinant alimentation équilibrée et pratique d’une activité physique. A lui tout seul, un complément ne permet pas de perdre du poids. Il doit donc être consommé à titre de prévention.
Que doit-on en penser ?
Appartenant au domaine du bien-être, les compléments alimentaires ne peuvent pas se substituer à un traitement de fond. Ils sont bénéfiques dès lors qu’ils sont utilisés à bon escient, et sans en abuser. Car consommés en trop grande quantité, certains de ces composants peuvent avoir des effets néfastes sur la santé. A forte dose, la créatine, par exemple, peut entraîner des risques de cancer, et la vitamine A devient dangereuse, pouvant causer des malformations du fœtus chez la femme enceinte. Pour ajuster le traitement, il est toujours préférable de demander conseils à son médecin et à son pharmacien qui sauront vous orienter vers le traitement adapté et vous prescrire les bonnes doses. Aujourd’hui, même s’il n’est pas possible de démontrer leur efficacité thérapeutique (puisque seuls les médicaments font l’objet d’études thérapeutiques), les compléments sont soumis à des études physiologiques et nutritionnelles certaines. A chacun d’entre nous de rester vigilant quant à leur utilisation et surtout de ne pas négliger le rôle d’une alimentation équilibrée.
Témoignage de Pierre, 68 ans, retraité
"Souffrant depuis plusieurs années d’une dégénérescence maculaire de la rétine, j’ai consulté à diverses reprises un ophtalmologiste qui m’a prescrit des gouttes de vitamine B 12 et m’a conseillé de me protéger du soleil. Différentes lectures m’ont appris que les antioxydants protégeaient la rétine des effets pervers des radicaux libres. De ce fait, avec l’aide de mon pharmacien, et après une petite étude des différents produits proposés sur le marché, j’ai retenu le Bio-Antioxydant un peu par hasard, mais aussi parce que les dosages de sélénium et de zinc - entre autre - me paraissaient équilibrés. Il y a de cela 6 mois. Aujourd’hui, la dégradation lente et inexorable semble s’être stabilisée et les déformations d’images enregistrées par mon oeil droit ont complètement disparu. L’ophtalmologiste que je consulte régulièrement l’a constaté, avec une certaine surprise d’ailleurs. Ce résultat demeure très important pour moi, car la dégénérescence maculaire conduit tôt ou tard à la cécité. Ce Bio-Antioxydant, que je vais vraisemblablement utiliser pour longtemps est le bon produit qui me permettra d’attendre, peut-être encore longtemps, les progrès décisifs de la médecine dans ce domaine".
"Souffrant depuis plusieurs années d’une dégénérescence maculaire de la rétine, j’ai consulté à diverses reprises un ophtalmologiste qui m’a prescrit des gouttes de vitamine B 12 et m’a conseillé de me protéger du soleil. Différentes lectures m’ont appris que les antioxydants protégeaient la rétine des effets pervers des radicaux libres. De ce fait, avec l’aide de mon pharmacien, et après une petite étude des différents produits proposés sur le marché, j’ai retenu le Bio-Antioxydant un peu par hasard, mais aussi parce que les dosages de sélénium et de zinc - entre autre - me paraissaient équilibrés. Il y a de cela 6 mois. Aujourd’hui, la dégradation lente et inexorable semble s’être stabilisée et les déformations d’images enregistrées par mon oeil droit ont complètement disparu. L’ophtalmologiste que je consulte régulièrement l’a constaté, avec une certaine surprise d’ailleurs. Ce résultat demeure très important pour moi, car la dégénérescence maculaire conduit tôt ou tard à la cécité. Ce Bio-Antioxydant, que je vais vraisemblablement utiliser pour longtemps est le bon produit qui me permettra d’attendre, peut-être encore longtemps, les progrès décisifs de la médecine dans ce domaine".
