Le homard, sa chair est si délicate
Met prestigieux, le homard est un crustacé que l’on pêche essentiellement au Québec et dans l’océan Atlantique. Il devra être acheté vivant et choisi avec tous ses membres (2 pinces, 8 pattes). Lorsqu’il sera sorti de l’aquarium dans lequel vous l’aurez choisi, il devra être tonique et se débattre. Si vous le trouvez inerte, reposez-le et préférez-en un autre. Cela voudra dire qu’il a séjourné trop longtemps hors de l’eau. Si vous souhaitez l’acheter déjà cuit, un petit test très simple vous indiquera sa fraîcheur : il suffit de déplier puis de relâcher sa queue. Si elle ne se rétracte pas, alors vous pouvez être sûre que le crustacé était mort avant sa cuisson. Dans ce cas, ne l’achetez surtout pas. Pour le cuire, il se plongera ensuite, tête la première, dans une marmite remplie d’eau bouillante. Vous pourrez toujours, si vous ne vous en sentez pas le courage, le donner à cuire par votre poissonnier, juste après l’avoir choisi. Il est également possible de le préparer grillé au four, et de le servir froid dans des salades. Sa chair est délicieuse, ferme, peu calorique, et ses parties comestibles sont la chair de l’abdomen (la queue), le corail, les pattes et aussi le foie, même si sa couleur est un peu verte. Le homard est riche en protéines, zinc, potassium et niacine. On utilise sa carapace pour aromatiser des bisques ou des sauces.
La coquille St Jacques, une si belle présentation
C’est sa pleine saison en automne et jusqu’au mois de janvier. La coquille St Jacques dite " blanche " est la plus ordinaire et la moins coûteuse. Achetée chez le poissonnier, il faudra bien faire attention à la choisir vivante. Si on la touche, elles se refermera avec un " clac " caractéristique. Elle pourra toutefois être morte et pourtant fermée, si le poissonnier a posé un poids lourd sur sa coquille. Avant d’être cuisinée, la coquille St Jacques devra être minutieusement nettoyée.
Met prestigieux, le homard est un crustacé que l’on pêche essentiellement au Québec et dans l’océan Atlantique. Il devra être acheté vivant et choisi avec tous ses membres (2 pinces, 8 pattes). Lorsqu’il sera sorti de l’aquarium dans lequel vous l’aurez choisi, il devra être tonique et se débattre. Si vous le trouvez inerte, reposez-le et préférez-en un autre. Cela voudra dire qu’il a séjourné trop longtemps hors de l’eau. Si vous souhaitez l’acheter déjà cuit, un petit test très simple vous indiquera sa fraîcheur : il suffit de déplier puis de relâcher sa queue. Si elle ne se rétracte pas, alors vous pouvez être sûre que le crustacé était mort avant sa cuisson. Dans ce cas, ne l’achetez surtout pas. Pour le cuire, il se plongera ensuite, tête la première, dans une marmite remplie d’eau bouillante. Vous pourrez toujours, si vous ne vous en sentez pas le courage, le donner à cuire par votre poissonnier, juste après l’avoir choisi. Il est également possible de le préparer grillé au four, et de le servir froid dans des salades. Sa chair est délicieuse, ferme, peu calorique, et ses parties comestibles sont la chair de l’abdomen (la queue), le corail, les pattes et aussi le foie, même si sa couleur est un peu verte. Le homard est riche en protéines, zinc, potassium et niacine. On utilise sa carapace pour aromatiser des bisques ou des sauces.
La coquille St Jacques, une si belle présentation
C’est sa pleine saison en automne et jusqu’au mois de janvier. La coquille St Jacques dite " blanche " est la plus ordinaire et la moins coûteuse. Achetée chez le poissonnier, il faudra bien faire attention à la choisir vivante. Si on la touche, elles se refermera avec un " clac " caractéristique. Elle pourra toutefois être morte et pourtant fermée, si le poissonnier a posé un poids lourd sur sa coquille. Avant d’être cuisinée, la coquille St Jacques devra être minutieusement nettoyée.
Les fruits de mer contiennent :
- du fer et du magnésium, qui luttent contre la fatigue et la baisse de moral
- du cuivre, pour améliorer la régénération sanguine
- du calcium, indispensable pour la construction osseuse
- du sélénium, qui ralentit le vieillissement des tissus
- du phosphore, pour stimuler la mémoire
- du fluor, pour combattre les caries dentaires
- de l’iode, pour le bon fonctionnement de la thyroïde.
- du fer et du magnésium, qui luttent contre la fatigue et la baisse de moral
- du cuivre, pour améliorer la régénération sanguine
- du calcium, indispensable pour la construction osseuse
- du sélénium, qui ralentit le vieillissement des tissus
- du phosphore, pour stimuler la mémoire
- du fluor, pour combattre les caries dentaires
- de l’iode, pour le bon fonctionnement de la thyroïde.
A lire :
Recettes du Pêcheur, éditions Marabout Chef, 128 pages. 6,95.
Recettes du Pêcheur, éditions Marabout Chef, 128 pages. 6,95.
