Quelques conseils
• Procédez graduellement.
La diversification alimentaire doit s’opérer de façon progressive. Il ne faut pas changer de goût trop souvent. À peu près tous les deux jours, introduisez un nouvel aliment. Comme saveur, on commence à donner pommes de terre et carottes qui sont facilement appréciés par les bébés. Les haricots verts et les courgettes sont des aliments importants d’un point de vue diététique. Par contre évitez dans un premier temps les aliments à goût fort.
• Respectez ses goûts
Il faudra vous adapter au goût de votre bébé. Celui-ci saura très clairement vous faire comprendre ce qu’il aime et ce qu’il n’aime pas. S’il refuse un aliment nouveau, ne l’obligez pas à en manger à tout prix. Par contre, n’hésitez pas à le lui proposer à nouveau ultérieurement. Mais, s’il refuse systématiquement cet aliment, acceptez l’idée que votre enfant puisse avoir des goûts et des dégoûts qui lui sont propres.
• N’insistez pas
Evitez dans tous les cas de forcer votre enfant à manger ce qu’il ne veut pas. Transformer le repas en rapport de force serait néfaste pour la suite de son éducation alimentaire. Il ne faut pas que le repas devienne quelque chose de lourd et de pesant ni pour l’enfant ni pour la maman.
Que de changements !
La diversification alimentaire est l’occasion de découvertes, de plaisirs et d’acquisitions qui incitent l’enfant à renoncer à ce qu’il a connu jusque-là. Effectivement, il faut comprendre qu’il s’agit pour l’enfant de passer non seulement du liquide au solide (changement de consistance), mais aussi à de nombreuses autres nouveautés : goût, odeur, couleur, température. Le mode de préhension de l’aliment va également changer : à la place des lèvres, il va utiliser les doigts, puis la cuillère et le gobelet. L’enfant va découvrir, apprécier et s’habituer aux préparations grumeleuses, épaisses, aux nouvelles saveurs, salées ou non, chaudes ou froides, pour passer au stade des repas diversifiés semi-liquides puis en morceaux. L’enfant fait ainsi ses premières expériences avec la nourriture. Il ne faut donc pas hésiter à le laisser toucher les aliments et le soutenir dans ses expériences nouvelles en valorisant ces nouveautés.
Cette période de transition sera mieux vécue si elle est pratiquée en douceur, en tenant compte des goûts du bébé et sans inquiétude excessive. N’oubliez jamais que l’élément primordial du repas tient dans le plaisir de la rencontre et d’un moment de bonheur et de satisfaction partagé.
• Procédez graduellement.
La diversification alimentaire doit s’opérer de façon progressive. Il ne faut pas changer de goût trop souvent. À peu près tous les deux jours, introduisez un nouvel aliment. Comme saveur, on commence à donner pommes de terre et carottes qui sont facilement appréciés par les bébés. Les haricots verts et les courgettes sont des aliments importants d’un point de vue diététique. Par contre évitez dans un premier temps les aliments à goût fort.
• Respectez ses goûts
Il faudra vous adapter au goût de votre bébé. Celui-ci saura très clairement vous faire comprendre ce qu’il aime et ce qu’il n’aime pas. S’il refuse un aliment nouveau, ne l’obligez pas à en manger à tout prix. Par contre, n’hésitez pas à le lui proposer à nouveau ultérieurement. Mais, s’il refuse systématiquement cet aliment, acceptez l’idée que votre enfant puisse avoir des goûts et des dégoûts qui lui sont propres.
• N’insistez pas
Evitez dans tous les cas de forcer votre enfant à manger ce qu’il ne veut pas. Transformer le repas en rapport de force serait néfaste pour la suite de son éducation alimentaire. Il ne faut pas que le repas devienne quelque chose de lourd et de pesant ni pour l’enfant ni pour la maman.
Que de changements !
La diversification alimentaire est l’occasion de découvertes, de plaisirs et d’acquisitions qui incitent l’enfant à renoncer à ce qu’il a connu jusque-là. Effectivement, il faut comprendre qu’il s’agit pour l’enfant de passer non seulement du liquide au solide (changement de consistance), mais aussi à de nombreuses autres nouveautés : goût, odeur, couleur, température. Le mode de préhension de l’aliment va également changer : à la place des lèvres, il va utiliser les doigts, puis la cuillère et le gobelet. L’enfant va découvrir, apprécier et s’habituer aux préparations grumeleuses, épaisses, aux nouvelles saveurs, salées ou non, chaudes ou froides, pour passer au stade des repas diversifiés semi-liquides puis en morceaux. L’enfant fait ainsi ses premières expériences avec la nourriture. Il ne faut donc pas hésiter à le laisser toucher les aliments et le soutenir dans ses expériences nouvelles en valorisant ces nouveautés.
Cette période de transition sera mieux vécue si elle est pratiquée en douceur, en tenant compte des goûts du bébé et sans inquiétude excessive. N’oubliez jamais que l’élément primordial du repas tient dans le plaisir de la rencontre et d’un moment de bonheur et de satisfaction partagé.