2/ Parce que ça fait culpabiliser
Vous apprendrez à manger de tout en laissant de côté culpabilité et fausses croyances qui vous servent de ligne de conduite. Ne pensez pas que le chocolat donne de la cellulite, que le pain, les pâtes, les pommes de terre font grossir, qu’il est préférable de manger son fruit au goûter plutôt qu’à la fin de son repas, que les huiles et le beurre donnent du cholestérol et bouchent les artères. Toutes ces idées reçues sont fausses et ne se basent sur aucune étude sérieuse. Au contraire, elles ne font qu’accroître la culpabilité à la moindre bouchée de trop, développent stress et angoisse. Le GROS œuvre contre cette vision manichéenne de l’alimentation auprès du grand public. Il préconise un comportement alimentaire normal, naturellement contrarié par les sensations internes et permettant de maintenir le fameux « set point ».
3/ Parce que ça rend triste et ça carence
Si vous en êtes à votre énième régime, demandez-vous si pendant vos périodes « d’abstinence », vous n’avez pas été un chouia moins gaie. La plupart du temps, la restriction entraine une perte de bonne humeur, une dégradation de l’estime de soi, de la relation avec l’entourage. A cela se rajoute la fatigue qu’entrainent les régimes restrictifs. A force de bannir certains aliments, on prive le corps des vitamines et minéraux dont il a besoin (oligo-éléments, vitamine E, sélénium). Souvent, les femmes sont carencées en fer dont l’apport doit se situer autour de 10-12 g par jour. Pourtant, elles n’en font qu’à leur tête et continuent souvent de se priver de viande rouge alors que celle-ci contient quatre fois plus de fer que certains légumes (type épinards et lentilles) et reste quatre fois mieux absorbée par les intestins. Quant à une supplémentation en magnésium par voie orale, elle reste moins efficace qu’une consommation directe d’aliments riches en magnésium. Il est important d’équilibrer son assiette en apportant une part de protéines (viandes, poissons, œuf), de glucides (via les féculents : pain, pommes de terre, riz, pâtes) et de lipides (huiles, beurre). Et le sucre ? Inutile de le diaboliser. S’il ne s’agit pas d’en faire une overdose à longueur de journées, à coup de sodas et autres sucreries dont on sait qu’ils participent au surpoids, les aliments sucrés sont à intégrer occasionnellement dans son quotidien. Ils doivent représenter un moment de plaisir et vous permettre d’assouvir votre gourmandise.
Vous l’aurez compris, nous l’espérons, rien ne sert de se priver.
Mangez ce que vous aimez, toute proportion gardée, écoutez votre faim et votre satiété. Par-dessus tout, faites-vous plaisir. Évitez de compter les calories, de repousser le moindre grain de riz sous prétexte qu’il pourrait vous faire pousser un bourrelet dans la nuit ou de vous sentir frustrée parce que vous avez ignoré ce croissant qui vous faisait de l’œil. En faisant plus attention à vos sensations, vous vous régulerez sans vous en rendre compte, arrêterez de grignoter et stabiliserez votre poids. Vous savez, le fameux « set point ».
Vous apprendrez à manger de tout en laissant de côté culpabilité et fausses croyances qui vous servent de ligne de conduite. Ne pensez pas que le chocolat donne de la cellulite, que le pain, les pâtes, les pommes de terre font grossir, qu’il est préférable de manger son fruit au goûter plutôt qu’à la fin de son repas, que les huiles et le beurre donnent du cholestérol et bouchent les artères. Toutes ces idées reçues sont fausses et ne se basent sur aucune étude sérieuse. Au contraire, elles ne font qu’accroître la culpabilité à la moindre bouchée de trop, développent stress et angoisse. Le GROS œuvre contre cette vision manichéenne de l’alimentation auprès du grand public. Il préconise un comportement alimentaire normal, naturellement contrarié par les sensations internes et permettant de maintenir le fameux « set point ».
3/ Parce que ça rend triste et ça carence
Si vous en êtes à votre énième régime, demandez-vous si pendant vos périodes « d’abstinence », vous n’avez pas été un chouia moins gaie. La plupart du temps, la restriction entraine une perte de bonne humeur, une dégradation de l’estime de soi, de la relation avec l’entourage. A cela se rajoute la fatigue qu’entrainent les régimes restrictifs. A force de bannir certains aliments, on prive le corps des vitamines et minéraux dont il a besoin (oligo-éléments, vitamine E, sélénium). Souvent, les femmes sont carencées en fer dont l’apport doit se situer autour de 10-12 g par jour. Pourtant, elles n’en font qu’à leur tête et continuent souvent de se priver de viande rouge alors que celle-ci contient quatre fois plus de fer que certains légumes (type épinards et lentilles) et reste quatre fois mieux absorbée par les intestins. Quant à une supplémentation en magnésium par voie orale, elle reste moins efficace qu’une consommation directe d’aliments riches en magnésium. Il est important d’équilibrer son assiette en apportant une part de protéines (viandes, poissons, œuf), de glucides (via les féculents : pain, pommes de terre, riz, pâtes) et de lipides (huiles, beurre). Et le sucre ? Inutile de le diaboliser. S’il ne s’agit pas d’en faire une overdose à longueur de journées, à coup de sodas et autres sucreries dont on sait qu’ils participent au surpoids, les aliments sucrés sont à intégrer occasionnellement dans son quotidien. Ils doivent représenter un moment de plaisir et vous permettre d’assouvir votre gourmandise.
Vous l’aurez compris, nous l’espérons, rien ne sert de se priver.
Mangez ce que vous aimez, toute proportion gardée, écoutez votre faim et votre satiété. Par-dessus tout, faites-vous plaisir. Évitez de compter les calories, de repousser le moindre grain de riz sous prétexte qu’il pourrait vous faire pousser un bourrelet dans la nuit ou de vous sentir frustrée parce que vous avez ignoré ce croissant qui vous faisait de l’œil. En faisant plus attention à vos sensations, vous vous régulerez sans vous en rendre compte, arrêterez de grignoter et stabiliserez votre poids. Vous savez, le fameux « set point ».