Prendre soin de sa santé, c’est aussi prendre soin de la planète. Nos régimes alimentaires toujours plus riches sont non seulement sources de maladie et de gaspillage mais mettent en péril ses ressources. Comment sortir de ce cercle vicieux ?
Le constat est là. En France, manger pollue davantage que se déplacer en voiture ou en train. Le quart des émissions de gaz à effet de serre en France provient de nos assiettes (production des aliments, transport, stockage, distribution et préparation). Sans parler de la pollution de l’air, de l’eau et du gaspillage.
Pour instaurer une alimentation durable - tous les aliments n’ayant pas le même impact environnemental - il faut changer le contenu de vos assiettes.
Diminuez la consommation de viande et de poisson en privilégiant la qualité et le local. Choisissez de préférence des produits issus de filière durable comme les volailles élevées en plein air. C’est une manière de soutenir l’agriculture locale en contribuant à l’équilibre écologique des territoires.
Augmentez la part des céréales, des légumes secs, des fruits et des légumes. Riches en nutriments, ils ont en général un impact environnemental beaucoup plus faible que les produits d'origine animale comme le lait, les œufs et surtout la viande.
N’hésitez pas à remplacer la viande par des légumineuses, source de protéines également. Associés à des céréales dans un même repas, elles apportent tous les éléments protéinés essentiels. Certains prônent le régime « flexitarien » qui consiste à consommer 2/3 de protéines végétales contre 1/3 de protéines animales.
Consommez des fruits et des légumes locaux, de saison évidemment. Ils ont peu voyagé et risquent moins d’avoir été produits sous serre. Pour vous aider dans vos choix, faites confiance aux labels environnementaux existants. Ils apportent des repères utiles. Lisez bien les étiquettes pour éviter d’acheter des produits que ne font pas du bien au climat comme l’huile de palme, cause de déforestation en Malaisie et en Indonésie.
Préférez les farines complètes aux farines raffinées qui sont le plus largement utilisées dans les pâtes ou le pain.
Dans les magasins, apportez toujours un cabas et amenez vos récipients (boîtes, bouteilles, …) pour choisir des produits vendus en vrac. Un système qui se développe de plus en plus.
Faites les petites courses en vélo ou à pied, une dépense physique excellente.
Dressez une liste de courses avant de faire vos achats et prenez soin d’acheter la juste quantité. Vous verrez que manger mieux ne coûte pas plus cher.
Préparez vos menus à l’avance et utiliser les restes (soupes, gratins…).
Privilégiez les produits frais et évitez les plats préparés.
Limitez la consommation de boissons en bouteille ou en canettes à cause de l’emballage et du coût du transport.
Dites au stop au gaspillage alimentaire déjà en faisant attention aux dates de péremption et en veillant à la bonne conservation de vos aliments.
Allégez aussi vos poubelles en effectuant quelques bons gestes comme de trier les emballages recyclables où que vous soyez, de faire un compost de vos déchets de cuisine dans votre jardin. Remplacez vos contenants alimentaires en plastique par de l’inox, matériau sain, solide et durable.
Pour instaurer une alimentation durable - tous les aliments n’ayant pas le même impact environnemental - il faut changer le contenu de vos assiettes.
Diminuez la consommation de viande et de poisson en privilégiant la qualité et le local. Choisissez de préférence des produits issus de filière durable comme les volailles élevées en plein air. C’est une manière de soutenir l’agriculture locale en contribuant à l’équilibre écologique des territoires.
Augmentez la part des céréales, des légumes secs, des fruits et des légumes. Riches en nutriments, ils ont en général un impact environnemental beaucoup plus faible que les produits d'origine animale comme le lait, les œufs et surtout la viande.
N’hésitez pas à remplacer la viande par des légumineuses, source de protéines également. Associés à des céréales dans un même repas, elles apportent tous les éléments protéinés essentiels. Certains prônent le régime « flexitarien » qui consiste à consommer 2/3 de protéines végétales contre 1/3 de protéines animales.
Consommez des fruits et des légumes locaux, de saison évidemment. Ils ont peu voyagé et risquent moins d’avoir été produits sous serre. Pour vous aider dans vos choix, faites confiance aux labels environnementaux existants. Ils apportent des repères utiles. Lisez bien les étiquettes pour éviter d’acheter des produits que ne font pas du bien au climat comme l’huile de palme, cause de déforestation en Malaisie et en Indonésie.
Préférez les farines complètes aux farines raffinées qui sont le plus largement utilisées dans les pâtes ou le pain.
Dans les magasins, apportez toujours un cabas et amenez vos récipients (boîtes, bouteilles, …) pour choisir des produits vendus en vrac. Un système qui se développe de plus en plus.
Faites les petites courses en vélo ou à pied, une dépense physique excellente.
Dressez une liste de courses avant de faire vos achats et prenez soin d’acheter la juste quantité. Vous verrez que manger mieux ne coûte pas plus cher.
Préparez vos menus à l’avance et utiliser les restes (soupes, gratins…).
Privilégiez les produits frais et évitez les plats préparés.
Limitez la consommation de boissons en bouteille ou en canettes à cause de l’emballage et du coût du transport.
Dites au stop au gaspillage alimentaire déjà en faisant attention aux dates de péremption et en veillant à la bonne conservation de vos aliments.
Allégez aussi vos poubelles en effectuant quelques bons gestes comme de trier les emballages recyclables où que vous soyez, de faire un compost de vos déchets de cuisine dans votre jardin. Remplacez vos contenants alimentaires en plastique par de l’inox, matériau sain, solide et durable.
