Il faut bien se le dire : le poisson est excellent pour la santé. Nutritif et diététique, il est fortement conseillé en période de régime. Contenant des acides gras insaturés, il est pauvre en graisses et est très nourrissant. Riche en protéines, vitamines et minéraux, il lutte contre les maladies cardiovasculaires. Il est d’ailleurs conseillé d’en consommer 2 à 3 fois par semaine pour que ses effets bénéfiques agissent sur l’organisme. Accommodé de mille et une façons, il fait également le bonheur des "bons mangeurs".
Les poissons gras font-ils grossir ?
Le saumon, la sardine, la truite sont aussi bénéfiques que les poissons les moins gras. Riches en graisses poly-insaturés, ces poissons diminuent le taux de triglycérides et le taux de "mauvais" cholestérol. Leurs propriétés permettent également une meilleure circulation du sang et préviennent les maladies cardio-vasculaires (comme l’infarctus du myocarde).
Poisson cru ou cuit ?
Tout dépend de vos goûts, mais les deux sont excellents.
- Le poisson cuit :
Pour accentuer les saveurs et les arômes du poisson, voici 4 astuces cuisson :
En papillote : Posez le poisson sur une feuille de papier aluminium de 20 cm environ. Mettez du thym, une fine rondelle de citron et de tomate, un filet d’huile d’olive, salez, poivrez. Refermez la papillote. Mettez votre poisson au four pendant 30 minutes. Vos papilles gustatives saliveront de bonheur.
Au court-bouillon : Versez dans une casserole d’eau froide un oignon, un bouquet garni, une échalote, du sel et du poivre. Plongez ensuite le poisson, portez à ébullition puis ramenez à feu doux pendant 20 minutes. Le poisson doit être bien tendre.
Poêlé à l’huile d’olive : Versez un peu d’huile d’olive dans votre poêle et faites revenir le poisson à feu doux jusqu’à ce qu’il soit bien doré. Pour relever le goût, vous pouvez rajouter des herbes de Provence, du coriandre, un bouquet garni…
A la vapeur : Déposez dans votre cuiseur vapeur le poisson frais. Saupoudrez-le des senteurs du jardin (thym, laurier, herbes de Provence…), de coriandre, salez et poivrez. Faites bouillir l’eau pendant 30 minutes puis retirez le poisson.
- Le poisson cru oui, mais attention !
Mariné ou à la japonaise (Sushi), le poisson cru doit être choisi et préparé minutieusement afin d’éviter tout risque d’intoxication alimentaire. En effet, un poisson qui n’est pas frais peut entraîner la formation d’un ver intestinal (Anisakis) responsable de violentes douleurs d’estomac.
La fraîcheur
Il faut impérativement veiller à ce que votre poisson soit frais. Il doit être acheté et consommé le jour même ou conservé 2 jours maximum au réfrigérateur. Si vous ne voulez pas le manger tout de suite, congelez-le 6 mois maximum. Frais ou congelé, la valeur nutritive du poisson reste identique, bien que le goût du poisson congelé soit très légèrement altéré. Et rien ne sert de le faire mariner dans un jus de citron ou de le saler pour le conserver : ces méthodes ne détruisent absolument pas les parasites.
Astuce : Comment cuisiner un poisson cru sans danger ?
Il faut congeler le poisson pendant 3 jours. Une fois décongelé, il faut veiller à retirer le gras qui entoure le poisson, la peau, et les parties foncées suspectes.
A savoir : Comment choisir et préparer une raie ?
Il existe deux sortes de raies : La raie bouclée se reconnaît à ses cartilages éparpillés sur le dos et les ailes : c’est la plus savoureuse. Délicieuse, la raie papillon a deux tâches caractéristiques sur les ailes. Pour enlever la forte odeur d’ammoniaque qui se dégage de la raie, il faut la plonger 2 heures dans l’eau vinaigrée. Et, pour supprimer la peau visqueuse qui la recouvre, il faut ensuite la plonger 2 minutes dans l’eau bouillante.
Les poissons les moins gras
1 à 4 g de lipides pour 100 g de poisson
La sole, la dorade, le bar, le cabillaud
Les poissons semi-gras
5 à 10 g de lipides pour 100 g de poisson
La carpe, le flétan, la lotte, le rouget, la truite
Les poissons les plus gras
11 à 25 g de lipides pour 100 g de poisson
Le saumon, le thon, l’anguille
Infos : Comment reconnaître un poisson frais ?
Les yeux et les écailles sont brillants
Le poisson est ferme au toucher
Les branchies sont roses ou rouges
Le saviez-vous ?
L’orthographe de Dorade change selon sa qualité. On écrit Daurade pour la Daurade Royale et Dorade pour les espèces moins nobles. La daurade est disponible de mai à octobre. Elle se reconnaît à son écaille légèrement grise et argentée et à une bande dorée entre les yeux. Quant aux dorades, elles se trouvent partout et toute l’année. La dorade grise se reconnaît à sa chair blanche et peu ferme, ainsi qu’à son prix : c’est la moins chère du marché.
Le saumon, la sardine, la truite sont aussi bénéfiques que les poissons les moins gras. Riches en graisses poly-insaturés, ces poissons diminuent le taux de triglycérides et le taux de "mauvais" cholestérol. Leurs propriétés permettent également une meilleure circulation du sang et préviennent les maladies cardio-vasculaires (comme l’infarctus du myocarde).
Poisson cru ou cuit ?
Tout dépend de vos goûts, mais les deux sont excellents.
- Le poisson cuit :
Pour accentuer les saveurs et les arômes du poisson, voici 4 astuces cuisson :
En papillote : Posez le poisson sur une feuille de papier aluminium de 20 cm environ. Mettez du thym, une fine rondelle de citron et de tomate, un filet d’huile d’olive, salez, poivrez. Refermez la papillote. Mettez votre poisson au four pendant 30 minutes. Vos papilles gustatives saliveront de bonheur.
Au court-bouillon : Versez dans une casserole d’eau froide un oignon, un bouquet garni, une échalote, du sel et du poivre. Plongez ensuite le poisson, portez à ébullition puis ramenez à feu doux pendant 20 minutes. Le poisson doit être bien tendre.
Poêlé à l’huile d’olive : Versez un peu d’huile d’olive dans votre poêle et faites revenir le poisson à feu doux jusqu’à ce qu’il soit bien doré. Pour relever le goût, vous pouvez rajouter des herbes de Provence, du coriandre, un bouquet garni…
A la vapeur : Déposez dans votre cuiseur vapeur le poisson frais. Saupoudrez-le des senteurs du jardin (thym, laurier, herbes de Provence…), de coriandre, salez et poivrez. Faites bouillir l’eau pendant 30 minutes puis retirez le poisson.
- Le poisson cru oui, mais attention !
Mariné ou à la japonaise (Sushi), le poisson cru doit être choisi et préparé minutieusement afin d’éviter tout risque d’intoxication alimentaire. En effet, un poisson qui n’est pas frais peut entraîner la formation d’un ver intestinal (Anisakis) responsable de violentes douleurs d’estomac.
La fraîcheur
Il faut impérativement veiller à ce que votre poisson soit frais. Il doit être acheté et consommé le jour même ou conservé 2 jours maximum au réfrigérateur. Si vous ne voulez pas le manger tout de suite, congelez-le 6 mois maximum. Frais ou congelé, la valeur nutritive du poisson reste identique, bien que le goût du poisson congelé soit très légèrement altéré. Et rien ne sert de le faire mariner dans un jus de citron ou de le saler pour le conserver : ces méthodes ne détruisent absolument pas les parasites.
Astuce : Comment cuisiner un poisson cru sans danger ?
Il faut congeler le poisson pendant 3 jours. Une fois décongelé, il faut veiller à retirer le gras qui entoure le poisson, la peau, et les parties foncées suspectes.
A savoir : Comment choisir et préparer une raie ?
Il existe deux sortes de raies : La raie bouclée se reconnaît à ses cartilages éparpillés sur le dos et les ailes : c’est la plus savoureuse. Délicieuse, la raie papillon a deux tâches caractéristiques sur les ailes. Pour enlever la forte odeur d’ammoniaque qui se dégage de la raie, il faut la plonger 2 heures dans l’eau vinaigrée. Et, pour supprimer la peau visqueuse qui la recouvre, il faut ensuite la plonger 2 minutes dans l’eau bouillante.
Les poissons les moins gras
1 à 4 g de lipides pour 100 g de poisson
La sole, la dorade, le bar, le cabillaud
Les poissons semi-gras
5 à 10 g de lipides pour 100 g de poisson
La carpe, le flétan, la lotte, le rouget, la truite
Les poissons les plus gras
11 à 25 g de lipides pour 100 g de poisson
Le saumon, le thon, l’anguille
Infos : Comment reconnaître un poisson frais ?
Les yeux et les écailles sont brillants
Le poisson est ferme au toucher
Les branchies sont roses ou rouges
Le saviez-vous ?
L’orthographe de Dorade change selon sa qualité. On écrit Daurade pour la Daurade Royale et Dorade pour les espèces moins nobles. La daurade est disponible de mai à octobre. Elle se reconnaît à son écaille légèrement grise et argentée et à une bande dorée entre les yeux. Quant aux dorades, elles se trouvent partout et toute l’année. La dorade grise se reconnaît à sa chair blanche et peu ferme, ainsi qu’à son prix : c’est la moins chère du marché.